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soient clairement expliquées. |
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Si je devais porter ces chemises En votre absence, je craindrais Que les manches ne s'abîment A force d'éponger mes sanglots. Lady Nijô, concubine de l'empereur Gofukakusa en réponse à un présent de ce dernier. (ceci n'est qu'un pâle extrait de l'ouvrage; Il faut lire les autres tanka plein d'émotions) |
L'air surchauffé S'affaisse Sur le gazon. Sôseki |
Frappé, le gong De bois vomit Les moustiques de midi. Sôseki |
Amer très amer Mais drôle aussi Au moment où mon père Rendait l'âme J'ai pété. Renga de Sôkan |
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